Variation de la radioactivité de l’uranium

Ce protocole d’expérience a été réalisé pour constater si le phénomène des émissions dues aux formes a une influence sur la variation de la radioactivité de l’uranium 235 et 238.

I – La théorie

Le phénomène d’émissions dues aux formes lumineuses agit sur la forme, son information est la fréquence des formes qui constituent la matière. L’information et la fréquence énergétique de la forme lui donnent une structure plus ou moins harmonieuse. En modifiant les formes au niveau de l’information et de la fréquence additionnées des harmoniques du nombre d’or contenu par le tétraèdre, l’irradiation de ces molécules d’uranium devrait être modifiée.

Des chercheurs russes, Vladimir Proplapov et Dimitri Vernadski démontrent que la pyramide structure au niveau moléculaire l’eau et accélère l’élimination du chlore à l’air libre. D’autres ont démontré que l’action du phénomène de la pyramide influence les molécules d’une lame de rasoir et la réaffute. Dernièrement, le chercheur John Hutchinson au Canada, en reprenant les travaux de Nicolas Tesla, est arrivé à rendre des métaux mous et à réaliser des séparations de métaux sans changement de température et de pression. Il est arrivé à faire décoller des poids de plus de 30 Kg sans signe de poussée apparente. Alexis Petzaro et Thomas Bearden soutiennent cette recherche.

II – Avant propos

Pour réaliser ce protocole, nous avons réalisé une collaboration avec un laboratoire d’observation de la radioactivité en France. Ils ont eut la gentillesse de nous conseiller et de nous envoyer le matériel qui nous manquait pour réaliser l’expérience.

La mesure de la radioactivité réalisée est faite par un Quartex. C’est un compteur geiger qui compte le nombre d’ionisations (désintégrations d’atomes) par plage de 30 secondes. Chaque mesure est répétée 10 fois et nous prenons la moyenne des dix mesures afin d’avoir une idée assez précise.

Les conditions atmosphériques de l’expérience étaient loin d’être parfaites.

III – Les éléments du protocole

– Un prototype qui produit un tétraèdre régulier en lumière solaire.
– Un Quartex : compteur geiger qui compte le nombre de désintégration par cycle de 30 secondes.
– Un petit carreau de céramique contenant de l’uranium 235 et 238.
– Une horloge.
– Un PC pour traiter les données.

IV – Le protocole

Dans un premier temps, l’échantillon d’uranium fut mesuré, ensuite placé au point d’émergence du phénomène dans le tétraèdre de lumière solaire et nous avons renouvelé les mesures. Après l’exposition, l’échantillon fut mesuré à différentes heures pour observer la permanence du phénomène.

V – Les résultats

VI – Interprétation

Nous pouvons lire sur le graphique ci-dessus que les deux premières mesures notée AVE, sont stables, elles nous servent de référence pour l’étude de la variation de la radioactivité.

Les deux colonnes suivantes expriment une faible augmentation de la radioactivité lorsque l’échantillon est placé dans le tétraèdre de lumière au point d’émergence du phénomène. Nous avons doublé la mesure à 10mn d’intervalle pour nous assurer de cette augmentation.

Dans les trois dernières colonnes, les mesures de la radioactivité expriment une réduction de 11 à 13 % et ce sans que l’échantillon soit exposé.

Il apparaît évident que le phénomène des émissions dues aux formes en lumière à une influence sur la radioactivité de l’uranium 235 et 238. Cependant, nous avons constaté que la radioactivité remontait à son niveau initiale après deux à trois jours sans exposition.

VII – Discussion avec des spécialistes de l’observation de la radioactivité en France

D’après ces spécialistes, la précision du compteur utilisé et les conditions de réalisation du protocole ne permettent pas une évaluation significative du protocole d’expérience.

Nous avons donc convenu de renouveler le protocole d’expérience cet été 2003 avec une intensité de soleil plus importante. A la suite de ce protocole nous prendrons certainement contact avec le laboratoire national de métrologie Henry Becquerel pour renouveler le protocole dans des conditions optimum.

VIII – Autres discussions

Plusieurs de mes amis chercheurs m’ont confirmé que la radioactivité de l’uranium ne peut varier autant en si peu de temps. Ils m’affirment que l’idée est très intéressante et nécessite un approfondissement avec des moyens financiers adéquats. Nous supposons que le phénomène augmente la radioactivité par une réorganisation moléculaire de l’échantillon ce qui libère plus de radioactivité. La baisse qui suit serait engendrée par le changement d’état moléculaire de l’uranium en des matériaux moins radioactifs. En d’autres termes, c’est accélérer la désintégration de l’uranium en plomb. Ceci n’est qu’une hypothèse qui demande vérification.

En effet l’uranium prend 4 milliards 500 millions d’années pour se désintégrer de moitié et se transformer en plomb. Cette connaissance est utilisée pour dater les roches en faisant le rapport de la masse de l’uranium/plomb par la méthode du spectromètre de masse en phase gazeuse et du laser. Cette méthode est aussi appelée la méthode par chromatographie. L’uranium passe par les éléments suivants lors de cette transformation :

 

XIX – Conclusion

Le caractère artisanal de notre prototype et les conditions d’expérimentations justifient des investigations plus poussées avec des moyens, des compétences et du matériel de beaucoup plus sérieux. Nous ne demandons qu’à travailler dans de bonnes conditions. Nous espérons rassembler tous ces éléments afin d’aider à la résolution du grave problème du sarcophage de Tchernobill.

Le progrès et les découvertes sont bénéfiques à la vie.

Les décisions politiques et l’avidité du profit et du pouvoir sont bien différents!

Merci aussi à toute l’équipe de La Pyramide.

Jérôme BOUJON – Président de l’association La Pyramide.