Hypothèse

L’hypothèse posée est la suivante :

 

L’émission due à la forme est fonction de la fréquence vibratoire, de la nature et de la géométrie de la forme.

 

I – Toute matière dans l’univers est issue de l’interaction d’une énergie et d’une information. Elle prend des aspects différents via notre perception par la variation des paramètres qui la régissent.

Nous appelons « émissions d’énergie dues aux formes », les énergies émises par les formes. Nous utilisons le terme ‘émission d’énergie’ car nous ne savons pas si ces émissions d’énergies sont de nature ondulatoire.

En effet, nous considérons que la création matière est composée d’une interaction d’énergies et d’informations caractérisée par de nombreux paramètres variables. La variation de ces derniers nous fait percevoir la matière sous différents aspects.

Ainsi une interaction d’énergies et d’informations dont la fréquence est très longue et l’amplitude très faible nous apparaît comme de la matière dense dotée d’une grande force de cohésion par exemple l’uranium.
A contrario, une interaction dont la fréquence est plus courte et l’amplitude plus grande se manifesterait comme un gaz.
De la même façon, une interaction dont la fréquence est très courte et l’amplitude très grande se manifesterait sous l’aspect de lumière.

Dans cet esprit plus les paramètres s’accélèrent et plus l’existence nous devient imperceptible car le niveau de vibration actuelle de notre perception est limité. Cependant en continuant dans cette logique, nous trouverons des octaves de fréquences correspondant à des pensées de jalousie, colère, …, d’un niveau vibratoire moindre par rapport aux pensées d’amour, de joie, etc.

II – En accélérant notre fréquence vibratoire, notre perception sera affectée, notre réalité et le champ des découvertes possibles seront élargis.

Une pyramide en lumière solaire développerait une émission d’énergie due à sa forme, beaucoup plus grande que la dimension de sa forme. L’énergie de cette émission serait proportionnelle à la longueur d’onde de la lumière qui compose la forme géométrique. L’influence de cette énergie accélérerait la fréquence vibratoire de tout ce qui se trouve dans le champ de cette émission. Une des finalités intéressantes de ce projet est la mise au point d’un variateur de fréquences de l’énergie inhérente à son environnement proche.

III – La réalisation d’un générateur d’émissions d’énergies dues aux formes lumineuses permettra d’étudier le phénomène et de connaître plus précisément les paramètres qui le régissent, de démontrer la véracité de cette hypothèse et de développer de nouveaux champs de recherches.

En effet, par la variation de la fréquence lumineuse et de son intensité, de la taille et de l’orientation de la forme, de la provenance de la source de lumière et de l’information que porte la lumière, il est logique que le phénomène varie puisque c’est un phénomène considéré comme électromagnétique et la lumière est une énergie électromagnétique également. C’est comme en électricité, lorsque nous faisons varier la résistance ou l’intensité, la tension s’en trouve modifiée proportionnellement.

De plus, nous avons parlé d’informations en interaction avec l’énergie. Or, la lumière est une énergie électromagnétique, un vecteur d’informations. Nous pouvons donc envisager que ces générateurs permettent d’envoyer une information dans le champ d’irradiation portée par l’énergie du phénomène. Ici nous abordons les notions de physique quantique.

Nous pouvons vous dire que ce dispositif est certainement un des premiers à autoriser l’étude de ce phénomène connu depuis la nuit des temps, dont nous ne connaissons quasiment rien et dont nous ne sommes pour le moment que capables d’en constater les effets.

IV – Conclusion

Cette innovation est peut-être le premier dispositif combinant énergie, information et phénomène. Nous avons là un outil d’études et d’observations des phénomènes croisant la physique quantique et la physique des champs.